Changer complètement de cap professionnel, on en a tous rêvé devant une nuit blanche ou juste après une réunion interminable. Mélanger l’appréhension, l’envie, le doute et cette petite étincelle qui fait s’imaginer derrière un piano de cuisine, à orchestrer une salle comble ou en train de déboucher une grande bouteille sous l’œil d’un maître… fascinant, non ? Le monde de la gastronomie, l’hôtellerie-restauration, l’œnologie, la pâtisserie, il donne à beaucoup cette impression d’un univers vibrant, où la passion n’est pas un slogan marketing. Et pourtant, faut-il tout recommencer à zéro ? L’admission parallèle ramène un souffle inattendu, une sorte de passage secret, incroyablement concret : partir d’un bagage parfois disparate, reprendre la main sur son parcours, remettre du sens et de l’envie là où le quotidien avait fini par user ce que vous aviez de plus précieux.
La diversité des admissions parallèles : où mène ce fameux passage secret ?
On a parfois dans la poche un BTS, une licence, une vie étudiante (plus ou moins palpitante) ou même une expérience solide en entreprise. Et soudain, le besoin de changement se fait sentir. Le dispositif Admissions parallèles Institut Lyfe s’adresse à celles et ceux qui n’ont pas envie de tourner le dos à ce qu’ils ont déjà construit, mais qui veulent que ça serve à ouvrir d’autres portes. Plus besoin de faire table rase du passé. Le principe ? Valoriser tout ce vécu, conjuguer exigences académiques et expériences pro parfois improbables. Pourquoi choisir entre son histoire et ses ambitions ? Certains revivent un regain d’enthousiasme, persuadés d’avoir enfin trouvé ce fil rouge qui manquait à leur projet.
Le processus de sélection, jeu de piste ou simple entretien ?
On pourrait penser que la sélection ressemble à un tirage au sort, la petite boule dans la main de l’huissier… mais non. Les écoles visent autre chose : du sens, de la cohérence, un projet qui tient debout même s’il bouscule quelques murs. Il faut préparer un dossier complet, raconter sa propre histoire (sans fard, sans tricherie) et défier son syndrome de l’imposteur. Tous les parcours comptent, y compris les années où rien n’a semblé vraiment… coller. Une anecdote ? Un candidat, ancien banquier, s’est illustré en décrochant un stage dans un grand restaurant simplement parce qu’il savait jongler avec la trésorerie… et les casseroles. Les jurys raffolent des zigzags, des reconversions audacieuses, de ceux qui osent tout avouer sans tabou. Il y a même de la place pour les autodidactes du sucré-salé, pourvu que la flamme soit là. L’entretien ? Il ressemble davantage à une conversation à cœur ouvert qu’à une audition formatée. On interroge les choix, on décortique les échecs, on parie sur les rebonds. Parfois, le déclic naît précisément d’une expérience professionnelle loin du secteur visé. Et là, tout change.
Quels critères regarder pour ne pas foncer droit dans le mur ?
Hésite-t-on vraiment sur tout ou fait-on confiance à l’instinct ? La réputation d’une école ne fait pas tout : l’écosystème d’anciens, les programmes capables de marier tradition et innovation, la proximité avec l’international… tout compte, sauf le hasard. Regarder le taux d’insertion, oui, mais aussi la couleur de la vie associative, la force des amitiés qui se forment à quatre heures du matin dans une cuisine trop petite.
- quelle résonance le réseau des diplômés a-t-il dans votre projet ?
- le contenu des modules colle-t-il à vos attentes ou risque-t-il de lasser dès la deuxième semaine ?
- les métiers visés riment-ils avec vos convictions ou s’agit-il simplement d’un effet de mode ?
- l’accès à l’alternance ou aux stages ouvre-t-il de vraies perspectives d’embauche ?
Certains racontent que le choix du programme, ce fut une intuition. D’autres ont passé des nuits à feuilleter des plaquettes, cherchant l’indice-clé. Chacun sa méthode, le tout étant de ne pas s’embarquer pour un aller simple vers l’ennui. Parfois, un simple échange avec un ancien étudiant suffit à trancher.
Le cursus, entre bouillonnement intellectuel et casseroles qui chantent
L’admission est acquise, les portes s’ouvrent. On se retrouve propulsé dans un tourbillon de cours, de travaux pratiques, d’ateliers où la créativité se frotte à la rigueur. Qui a parlé d’ennui ? Les stages en entreprise, souvent redoutés, deviennent une révélation pour ceux qui aiment apprendre en mouvement. Les plus curieux se perdent parmi les options, hésitent entre l’œnologie pointue et la pâtisserie déconstruite, parlent dès la première semaine d’ouvrir leur propre affaire, ou de voyager à l’autre bout du monde pour observer les chefs au sommet.
Ce qui frappe, c’est ce subtil mélange : tradition, innovation, stress, adrénaline. Le tout, à la sauce internationale, avec des rencontres inattendues qui changent tout.
Quels bénéfices concrets à parier sur l’admission parallèle ?
Pourquoi reprendre toute une scolarité ? Personne n’en a réellement envie. L’admission parallèle raccourcit les délais, privilégie l’effet tremplin. Certains, bardés d’expériences, cherchent à accélérer sans effacer ce qu’ils ont appris. Dans ces secteurs, chaque parcours atypique devient potentiellement une carte maîtresse. Les écoles aiment les profils à la trajectoire sinueuse, ceux qui ont parfois bousculé leur vie pro sur un coup de cœur ou après avoir compris que la routine, c’est décidément pas pour eux. La flexibilité attire aussi bien le jeune diplômé bouillonnant d’idées que le quinquagénaire épris d’aventures neuves. L’un n’empêche pas l’autre d’ailleurs, et si, dans la même salle de cours, des générations se frôlent, la magie opère souvent dans l’échange imprévu, à la machine à café.
Adaptabilité ou sens du collectif : comment s’en sort-on vraiment ?
On s’imagine parfois le parcours façon marathon en solitaire, mais la réalité surprend : l’entraide prend le dessus. Ce réseau d’anciens, de mentors, de professionnels passionnés, il fait rempart contre les moments de doute et propulse parfois vers l’opportunité qui change tout. On croise des amitiés forgées dans l’adversité, des concours où chacun se découvre sous pression… et surtout, un apprentissage qui dépasse la technique pure. La vraie nouveauté, c’est de voir naître des ambitions inattendues, parfois bien loin des projets initiaux. Parfois, au détour d’un forum, un ancien tend la main, débloque un stage, glisse un mot à la bonne oreille. Un effet domino qui dépasse le simple cursus et résonne longtemps après la fin des cours.
Pourquoi sauter le pas maintenant ? Et demain, où serez-vous ?
Le secteur évolue, bourré de défis et de surprises, rien ne sert d’attendre. La formation continue fait loi, c’est un fait. Lenvie d’une aventure nouvelle, celle qui donne envie de rire, de râler, de se dépasser… cette envie-là, elle n’attend pas. Les admissions parallèles filent un coup de pouce, offrent un paysage à redessiner et bousculent les certitudes : oser repenser son horizon professionnel, c’est aussi sortir des sentiers battus, s’offrir la possibilité de ne plus regarder la passion de loin. Alors, envie de donner une nouvelle dimension à ce qui vous anime pour de vrai ? Prêt à insuffler un souffle neuf dans les milieux exigeants de la gastronomie ou de l’hôtellerie, ou à surprendre un secteur qui a tant à offrir à ceux qui osent la différence ?